Une petite aventure en leggins dans la forêt

Catégories : Pantyhose collants bas petite culotte corset
il y a 3 ans

Une jolie histoire érotique autour d’un couple en leggins

J'étais en train de jouer sur l'ordinateur quand ma femme m'appela. Je m'empressais d'aller la voir. Ma femme se trouvait devant son pc, son écran affichait un vêtement de sport sur le site de Nike. — Regarde-moi ça, dit-elle, euphorique. Ils viennent de sortir une nouvelle collection de leggings ultra tendance. Je fis semblant de m'intéresser. C'était juste un legging rose aux motifs géométriques sobre. Ma femme en avait plein. — S'il te plaît est-ce tu me peux l'offrir ? — J'ai l'impression que tu es une enfant pourrie gâtée, mais bon je ne peux pas le refuser. Après tout, j'aime beaucoup te voir dans ce type de vêtement. — Merci chéri. — Utilises ma carte de crédit, je dois reprendre la partie de mon jeu si tu n’as plus besoin de moi. — Vas-y, tu es un amour ! Après un baiser tendre. Je retournai sur mon pc. Évidemment, mon personnage était mort plusieurs fois depuis que j'étais parti. Quelques minutes plus tard, mon téléphone vibra, ma femme avait passé la commande. Cent quinze euros ! Heureusement que mon salaire était élevé sinon je ne pourrais jamais payer tous les cadeaux d'Eris. On passa la soirée chacun de son côté. ...... Lorsque le livreur sonna, Nous étions en train de manger. — Vas-y chéri, dit Eris. Je me levai et j'allais réceptionner le colis. Après avoir signé, je transmis la boîte à ma femme. Impatiente, elle l'ouvrit. Son legging rose semblait tellement beau. Hier sur écran il paraissait un peu fade. — Va l'essayer, j'ai trop hâte de jour, dis-je.

Eris partit toute heureuse, on dirait un enfant recevant ses cadeaux à Noël. Je pris le carton pour aller le jeter. C'était là que je remarquais un autre article. Eris avait trouvé quelques choses d'autre. Curieux, je sors le vêtement. Un autre legging ? Mais cette fois-ci, il semblait noir et plutôt sobre. Le tissu paraissait agréable et doux. Étant fétichiste de ce type de vêtement moulant, une érection apparaît dans mon caleçon. C'était en lisant l'étiquette que je compris que ce legging était adressé à moi. Nike pro l'excellence chez les hommes. Je le saisis et je contemplais.

— Il te plaît ?

Eris me surpris. Mon cœur s'affola comme si je commettais une bêtise. Mes yeux se retournèrent vers Eris. Elle arbora son nouveau legging. Son vêtement sublimait ses magnifiques jambes. — Il te va à merveille. — Je te parle du tiens pas du mien. Je ne savais pas trop répondre. J'avais honte. — Tu as perdu ta langue, écoute va l'essayer.

J'obéis sans faire de commentaire, je me dirige vers notre chambre. Je m'assis sur le lit quelques instants pour reprendre mes esprits. Je remarquais une culotte posait sur le lit. Sous son vêtement, Eris ne portait rien. Peut-être aussi que c'était une culotte qui traînait. Mes mains tremblaient, mon pantalon s'enleva presque avec difficulté. Mon caleçon ne pouvait contenir mon érection imposante. Je saisis le legging, et ma première jambe entra. Je ne me voulais même pas me regarder tellement j'avais honte.

Une fois les deux jambes mises, je sentis la douceur du vêtement. La légèreté aussi. C'était très agréable ! Mon tee-shirt n'était pas assez long pour camoufler mon érection tellement immense. Je retourne voir ma femme. Elle me sourit. Un sourire que j'aimais beaucoup, un sourire qui exprimait toute l'amour qu'elle avait. Mon sexe était très visible, et pourtant Eris en fis aucun commentaire.

— Tourne toi un peu, me dit-elle. Je me tournais, elle contempla toutes les parties de mon corps. — Franchement, tu es plus sexy que j'imaginais. J'ai fait réchauffer les plans, on pourra continuer de manger. — D'accord. J'étais un peu mal l'aise de devoir garder mon leggings. Si jamais quelqu'un rentrait. Jamais Eris n’allait me ridiculiser. On discuta tout en mangeant, mon érection partit vite. Je le sentis bien dans ce vêtement moulant. — Il fait un bon temps pour courir, à l'intérieur d'une forêt pour être tranquille, qu'est ce tu en pense ? Je ne pouvais pas refuser, surtout quand elle faisait ce sourire plein de tendresse. — Tu auras même droit à une surprise, reprit-elle, tu mérites bien une récompense. Tu n'as même pas rechigné pour porter le legging. — Une surprise ? Eris, j'ai passé l'âge pour des caprices. On s'aime, pourquoi vouloir se disputer. Ton sourire me fait tellement craquer que j'accepterais tout pour te rendre heureuse. Une nouvelle érection, plus légère apparaît. — Je sais tu me le dis souvent. Je le laisse rangé, je vais un peu me préparer.

On se leva, on s'embrassa. Eris passa sa main sur mon érection naissante puis s'en alla. Mon sexe grossit. Je voulais me branler. Mais ce n'était ni le moment ni l'heure. Les assiettes s'entassaient dans la machine à laver. Mon sexe grossit de plus en plus. Je fis quelques caresses furtives. Je me masturbais à travers du tissu. Mais j'arrêtais vite. Eris n'aimait pas que je tripotasse sans elle. Ma femme sortit de la chambre et vint me voir.

— Chéri, enlève ton caleçon il est visible et ce n’est pas beau. Ne l’as-tu pas remarqué ?

J'obéis une nouvelle fois sans faire de commentaire. Je retournais dans la chambre et je retirais mon sous-vêtement. Mon sexe qui caressait le legging était fort agréable mais terriblement excitant ! Était-ce moi où je voyais avec détail l'anatomie de mon pénis ? L'idée de me branler me gagnait, mais j'essayais à tout prix de me contrôler. Bizarrement, érection ou pas, mon sexe ne gênait pas, il restait correctement à sa place. Je rejoignais Eris.

— C'est beaucoup mieux ! Par contre tu es irrésistiblement sexy. Ses yeux regardèrent mon sexe avec attention, comme si c'était la première fois qu'elle voyait un homme bander. — Ça va il n'est pas trop à l'étroit, — Non, tout va bien. — Tant mieux Quelques minutes plus tard, Eris conduisit le véhicule et essaya de trouver une forêt chaleureuse. Elle s'arrêta près d'un bois à dix kilomètres de la ville.

— Tu n'as à rien craindre, il n’y a personne par ici, me rassure ma femme.

Dehors le temps était particulièrement doux pour un mois de mai. Par tarder, on pénétra dans la forêt. Devant moi, se trouvait Eris. Son cul semblait terriblement sexy. Cela m'excitait, et une nouvelle érection s'empressa de venir. J'avais l'impression que le legging me procurait des caresses. En quelques secondes, mon pénis paraît gros. On courra à peine dix minutes et on s'arrêta. — Tu veux jouir ? Ton sexe demande que ça depuis tout à l'heure, cela se voit. Me dit ma femme. — Ici ? — Ne fais pas ton timide, baise ton leggings que je te suce. Voilà ta surprise, me sourit Eris. Cette révélation me faisait bander encore plus fort. On alla se cacher derrière un arbre. — Enlève ton leggings, m'ordonna ma femme.

J'obéis sans commentaire, j'enlève mon vêtement et mon pénis se dressait fièrement vers la bouche de ma femme. Elle commença à faire des petits coups de langue sur mon gland. Puis quelques minutes plus tard, elle saisit tout mon sexe dans sa bouche et me suça bruyamment. J'adorais qu'elle faisait du bruit quand elle suçait, c'était excitant !

Quelques minutes plus tard, je gémissais faiblement, j'étais plutôt timide sur ça. Je remarquais qu'Eris avait placé sa main gauche à l'intérieur de son leggings pour se masturber la chatte. Elle accéléra ses coups de langue, c'était un vrai délice. Par moment, elle laissa échapper quelques gémissements. Je voyais qu'elle accélérer ses mouvements de mains, elle semblait si excitait qu'elle gémît mon sexe dans la bouche. Mon pénis allait expulser son sperme quand quelques minutes. J'allais jouir. Mais Eris remit ma queue dans mon leggings et se masturba la chatte fort. Sans perdre une seconde, je saisis mon sexe trempé et je me branlai jusqu'à l'éjaculation. Tout ça c'était passé en quelques secondes et je n'avais pas eu le temps de viser où je voulais. Mon sperme se déversa dans mon leggings avec jouissances. Quel bonheur de jouir comme ça ! Plusieurs jets envahissent mon vêtement. C'était complètement puant et collant mais terriblement excitant ! Eris, tant elle, jouit sans gêne en gémissant fort et bruyamment. Nous étions essoufflés, on reprit notre souffle dans la sérénité de la forêt. — C'était très agréable et excitant de le faire en forêt, m’exclamais-je. Elle m’a souri.

Jon-Jon

Cette ressource n'a pas encore été commentée.
Publicité en cours de chargement